Comité International des Arts et de la Culture
Depuis 1976
LITTERATURE
Parents d'Ados de A à Z
Editions Bussiere
Pascal Soetens
Qui ne s’est jamais senti dépassé par son ado ? Qui n’a jamais eu envie de baisser les bras face à ses emportements ? A son insistance ? A sa mauvaise volonté manifeste ? Ce petit guide est là pour vous apprendre à dompter le rebelle qui sommeille au bout du couloir alors que c’est l’heure de passer à table. Ce véritable dico du parent d’ado vous permet de passer des sujets les plus sérieux aux plus légers, de piocher dans les conseils au gré des problématiques que vous rencontrerez au quotidien pour le protéger au mieux et tenter de parfaire son éducation en conservant son authenticité.
Une fois de plus Pascal Soetens met son expérience au service de tous ceux qui rencontrent ou rencontreront des difficultés éducatives ou familiales avec leurs ados. Au-delà des qualités humaines de « Pascal le grand frère » que nous avons découvert à la télévision, c’est aussi une discipline et une philosophie de vie qu’il nous conseil par son vécu et diverses rencontres qui ont enrichi sa vie au cours du temps
par JEDSL
Les box de Déborah Passuti
Les box de Déborah Passuti
Cela faisait deux ans qu’elle en rêvait. En cette soirée du 7 décembre, ce fut Noël avant l’heure pour Déborah Passuti. Elle a concrétisé son rêve dans le fastueux hôtel particulier Le Marois dans le VIIIème arrondissement (pour la petite histoire : bâti par Jules Bonaparte Polydore Le Marois, homme politique et sénateur du second empire, avec, pour pierre angulaire, un magnifique escalier d’honneur à l’impérial en marbre blanc et fer forgé).
C’est entourée de Michel Drucker, Pierre Richard TV, Laurent Luyat (journaliste sportif France 2) Laurence Peraud (animatrice journaliste Sud Radio, M6/W9), Gérald Kierzek (médecin urgentiste à l’Hôtel Dieu, consultant santé TF1/LCI), Alexandre Zouari (coiffeur mondain), Chayan Khoi (photographe et peintre iranien) pour ne citer qu’eux, que la naturopathe, après un long travail de recherches et de développement, a présenté Deboterah, les premières box de compléments alimentaires. Quoi de plus évident pour la conseillère en nutrition que d’utiliser cette médecine moderne et complémentaire à la traditionnelle, pour répondre de manière naturelle (massages énergétiques, techniques de respiration, activité physique et alimentation), aux quêtes de bien-être et régénérer son énergie face aux modes de vie actuels et contraintes de notre société ?
Et son savoir-faire, Déborah le propose à bon escient dans un concept novateur de box de compléments alimentaires 100% naturels, de qualité, qui font appel à la magie des plantes. Qu’y trouve-t-on ? Quatre produits respectueux de la physiologie, agissant en profondeur sur le long terme sur les cellules et l’organisme, dont la fonction est d’agir ensemble en potentialisant leurs effets dans le respect de la nature et de l’humain.
Outre ses nombreux conseils prodigués, Deboterah c’est aussi un livre, « Le guide de Naturopathie, santé, bien-être, longévité, les dix commandements » sorti aux éditions Ramsay, pour comprendre avec simplicité les principales règles de la naturopathie. Alors, pour des fêtes au top et un corps en harmonie au quotidien, entrez dans l’univers Deboterah.
Par Daphné Victor
BECAUD ON REVIENT TE CHERCHER
L’hommage à Bécaud de Jacques Pessis et Claude Lemesle
C'est dans les salons Georges Auric de la Sacem qu'a eu lieu hier soir, le lancement de la sortie "Bécaud on revient te chercher" (ed l'Archipel); un défi rédactionnel écrit à quatre mains par le journaliste, scénariste réalisateur Jacques Pessis et le célèbre auteur Claude Lemesle. Ce travail de mémoire est une première, car comme l'a expliqué Jacques Pessis, " Gilbert Bécaud ne s'intéressait pas à son passé.
Il ne voulait pas raconter sa vie". Maintenant, vous saurez tout sur le parcours de Monsieur 100 000 volts et sur ceux qui ont fait l'homme et l'artiste qu'il était. Cette soirée, célébrant les 20 ans de la disparition de Bécaud, n'aurait pas été un réel hommage sans l'interprétation émue par Claude Lemesle, de quelques titres de l'artiste, accompagné à la guitare par Philippe Hervouët , devant quelques privilégiés dont Fiona Gélin, Émilie Bécaud, Mischa Aznavour, Liliane Bouc, Alban DE Jong, Gérard Davoust ...; un anniversaire également honoré par le coffret 3 CD "Je reviens te chercher" (Warner Music), rassemblant un best of studio, un concert Musicorama inédit de 1975 , avec aussi des inédits et des reprises.
Par Daphné Victor
Chat alors !
Que son pelage soit long ou court, qu’il soit de race ou de gouttière, le chat n’est pas que mignon. C’est un animal charismatique, aussi doux que sauvage. Il serait tiré par les poils de penser qu’il n’est qu’intéressé, que par son comportement indépendant et solitaire il aurait bien d’autres chats à fouetter que son maître, ou encore, qu’au lieu d’aller jouer au chat et à la souris, il consacrerait son temps à dormir. Certes, il est « chat-heureux » et affectueux que quand il le décide, mais, tout comme le chien, il est le fidèle compagnon de l’homme. Les Égyptiens ont vu en lui une divine incarnation. Ils l’ont tout de suite vénéré et rendu sacré. Ils avaient compris que sa présence était rassurante et que ses ronronnements étaient un anti-stress apaisant. Comme tout félin qui se respecte, le chat est un prédateur et un « chat-seur ». C’est un explorateur joueur, un observateur curieux et rusé qui sait aussi protéger. Eh oui, le chat peut être héroïque. Ce n’est pas pour rien que dans de nombreuses cultures, il est un animal Todem.
Alors si vous pensiez presque tout connaître sur le greffier, vous ne donnerez plus votre langue au chat grâce à l’artiste protéiforme et historien Benjamin Valliet. Car, de tout cela, il vous en parle explicitement dans « Chat-necdotes », avec le soutien de son chat Brayou. Outre de mettre en avant ses nombreuses capacités dont il est doté, son livre est un plaidoyer à l’animal domestique qui permet de le (re)découvrir à travers des histoires réelles, certaines quelque peu extraordinaires et même insolites, ainsi que les éclaircissements appuyés du vétérinaire Philippe Dauty. Vous comprendrez comment les 15 millions de chats choyés et câlinés dans les foyers français sont devenus les stars des réseaux sociaux, vous apprendrez quels sont les lieux qui leur sont entièrement dédiés comme des bars, des musées et en quoi ils sont une source d’inspiration artistique.
Alors, pour tout « chat-voir » sur nos compagnons de vie : « Chat-necdotes »
par Benjamin Valliet aux éditions Favre – 18€ – www.editionfavre.com
Par Daphné Victor
Sandy L.R : sa vie entre deux ponts
Il serait trop simple de penser que sa destinée était assise entre deux chaises. Mais celle de Sandy L.R est en réalité liée une histoire de ponts. Alors que ceux de sa vie s’effondre un à un, cette jeune mère célibataire s’évertue malgré l’adversité à en bâtir de nouveaux pour le bonheur de son fils Nooam, son seul vrai moteur. Elle n’hésite pas à rompre les ponts avec certains proches et à faire le pont aux relances administratives qui inondent sa boite aux lettres pour élever de fictifs ponts levis lui permettant de laisser libre cours à son imaginaire sur le papier. Car le rêve de Sandy L.R est d’écrire son roman. L’écorchée vive qui a connu la précarité, s’est construite à travers les mots. Écrire est son exutoire. La feuille blanche, son antidépresseur.
Elle s’y épanche partout et tout le temps, librement et poétiquement, jusqu’à s’y perdre en mélangeant et confondant utopie et réalité. Certains la penseront futile ou irresponsable. Mais son projet n’est point un caprice et encore moins une chimère. De Honfleur sa ville de cœur, à Paris la ville de tous ses espoirs, cette Jeanne d’Arc des temps modernes n’aura de cesse d’édifier une passerelle pour panser ses bleus à l’âme et reconstruire le puzzle éparpillé de sa vie. Son existence est un jeu de bowling. Certaines de ses quilles sont tombées face aux déboires et aux désillusions, mais le strike n’a pas eu raison des autres. Sandy L.R est là, debout et vivante. À travers l’âme de sa grand-mère, Dame Providence veille sur elle. Contre toute attente, alors que l’eau coule sous ses ponts, son destin va changer. Son ciel s’illumine grâce à sa rencontre montmartroise avec un chevalier, « l’Homme en bleu ».
Sandy L.R peut désormais arrêter d’idéaliser sa vie. Il est temps de lui sourire et d’abaisser ses forteresses. Quant à sa quête du vrai amour, lui aussi, elle va le trouver auprès de François, son prince de vie et partenaire de travail. La suite, le reste, Sandy L.R ne fait que de vous le raconter dans « La Fille entre les ponts » aux éditions Thierry Sajat (Préface de Fabienne Thibeault)
- www.editionsthierrysajat.com
Par Daphné Victor
La cinquantaine : l’âge des doutes ou de la résurrection ?
La protagoniste de Martina Chyba, c’est vous, c’est nous. C’est toutes les femmes quinquas qui, au moment où Dame nature s’éclipse pour laisser place à Mademoiselle Ménopause, se remettent en question. « À cinquante ans les hommes se font virer, les femmes se font larguées. » Pas que. Lorsque qu’une nouvelle dizaine s’affiche au compteur d’une femme quinquagénaire, que l’on soit mère célibataire et que l’on connaisse une jachère sexuelle, une vie épanouie s’est quoi ? Avoir procréé, être divorcée, posséder un bel appart, avoir un bon job, des amis, faire des voyages, pratiquer diverses activités, être libre et surtout avoir la paix ? Pour certaines, c’est même une réussite sociale. Mais quid de la tendresse, des sentiments et de l’amour ? Certes, la vie n’est pas faite pour être traversée seule. Sans chercher le prince charmant qui, au demeurant, n’existe que dans les contes, n’est-il pas préférable d’avoir une relation sans attache qui nécessite aucun engagement ? Vivre le Carpe Diem et s’en tenir à "la B attitude, à savoir bouffe, boire, baiser, se balader, bouquiner et Basta ! " Préférer la quête de vibrations et de libido, au détriment de la quête d’amour ?
Cet hédonisme idéalisé n’est-il pas en réalité pour les quinquas, un placébo pour se sentir vivante et débridée ? C’est ce que nous explique, non sans ironie, Martyna Chyba. Son héroïne souffre du « syndrome des quincados ». Elle « fait partie d’une génération pathétique, révoltée contre rien, mais fatiguée de tout, persuadée d’avoir trente ans dans sa tête et dans sa chair, mais désespérée d’en avoir cinquante dans ses artères et dans son job. » Alors quoi ? Parce qu’elle est une âme perdue flottant dans l’anarchie émotionnelle de ses peurs et de ses questionnements, elle devrait déclarer forfait ? Son désordre sentimental ne le mérite pas. « Une vie est faite de projets et de perspectives, d’événements dont on peut se réjouir, de quelque chose que l’on peut appeler un horizon ». Elle doit donc avancer, se prendre en main et se faire face. Son partenaire de jeux, elle le trouve au bas des marches du sacré Cœur, via un site de rencontres. Mais pour apaiser son mental, rien de mieux que l’aide d’un psy. Oui mais, quand pour seul conseil thérapeutique, il vous prescrit non pas des anti-dépresseurs, mais d’aller contempler des œuvres d’art en vous demandant « comment ce que je vois peut-il me donner de la force ? », il faut la trouver la motivation. Et pourtant, à qui sait les décrypter et les comprendre, ces créations artistiques ont un véritable pouvoir réparateur.
Pour le savoir, « Rendez-vous » de Martina Chypa aux éditions Favre, un roman très actuel sur une tranche de vie de femmes avec leurs doutes et leurs incertitudes, « fraîchement divorcées et plus toutes fraîches sur le marché ingrat de la séduction », « chroniquement insatisfaites et paniquées par le temps qui passe (…) extrêmement douée pour ne pas saisir le bonheur quand il se présente, pleurer sur leur solitude, leur vie avortée et leur future retraite forcément misérable », mais une génération démographique connectée avec tous ses nouveaux champs des possibles qui s’offre à elle si elle le décide et le veut vraiment. Un portrait autobiographique sur les tourments des femmes quinquagénaires d’aujourd’hui, au ton fluide et libre, dans lequel chacune se reconnaîtra.
Par Daphné Victor